Juliette Green en résidence de création
Juliette Green s’attache dans cette nouvelle résidence à examiner la question de l’habitabilité de l’Espace en s’appuyant sur un manuel d’utilisation des équipements techniques dans l’Espace.
Juliette Green s’attache dans cette nouvelle résidence à examiner la question de l’habitabilité de l’Espace en s’appuyant sur un manuel d’utilisation des équipements techniques dans l’Espace.
L’artiste élabore un dispositif de projection picturale inspiré des paravents Coromandel afin de représenter la vie en impesanteur à bord d’une station orbitale.
À la suite d'un premier dessin de grand format présenté en 2023 dans l'exposition Station #1, l'artiste entame une résidence de création et va s'appuyer sur les constantes perturbations générées par l'impesanteur pour cheminer entre dessin hyperréaliste et déstructuration des formes.
L'artiste met en jeu sa pratique de la photographie dans le contexte d'instabilité propre au milieu en micropesanteur.
Interpellé par les objets techniques qui sont récupérés au retour d'une mission spatiale et par la manière dont ils sont conservés et présentés, Charlie Boisson travaille à partir des formes et des matériaux de ces fragments qui ont traversé l'Espace.
Le peintre Paul Gibert et la plasticienne Mary Sue déconstruisent la nouvelle tendance qui consiste à imaginer, à l'aide d'une intelligence artificielle, l'envoi dans l'Espace d'objets du quotidien. .
Victoire Thierrée entame une nouvelle résidence de création et réalise une œuvre sculpturale, intitulée Caillou, qui sera embarquée à bord d'un ballon stratosphérique pour interagir avec le milieu spatial et faire œuvre à son retour au sol.
À partir des rituels qui précèdent les voyages dans l’Espace, Stephan Goldrajch imagine le parcours initiatique d’une créature confrontée à son départ de la Terre.
Clara Cimelli revisite au dessin un corpus photographique montrant l'intérieur de la Station spatiale internationale et rend compte de l'anarchie qui règne au sein de cet univers pourtant rationnel et organisé.
L’artiste réalisera une sculpture en bois et céramique qui, en empruntant aux formes techniques de l’industrie spatiale et aux traditions ornementales, témoigne de la manière dont nous envisageons d’habiter l’Espace.
L’artiste a choisi de s’approcher du phénomène de l’extase en développant un dispositif de création qui captera la perte des repères physiques induite par l’expérience de l’impesanteur.
Ce projet artistique, qui vise à réécrire de manière performative certains textes juridiques spatiaux, est présenté pour la première fois en public, le 14 octobre, à Marseille.
Aurélie Pagès utilisera plusieurs procédés d’impression pour transformer des archives issues de l’imagerie scientifique et constituer un corpus alternatif de ces images.
À partir de documents textuels issus des archives de l’Observatoire de l’Espace, Juliette Green réalisera plusieurs pièces fondées sur une méthode graphique, support d’une exploration à la fois sérieuse et absurde de l’aventure spatiale.
Partant du constat que la pesanteur est une des données essentielles de la sculpture, Stéphane Thidet questionne la manière dont son absence influence les formes physiques et les volumes qui sont générés au cours d’un vol en zero-g.
Le duo Hippolyte-Hentgen, associant Gaëlle Hippolyte et Lina Hentgen, va effectuer un travail de création qui joint le dessin et le document spatial. Les deux artistes formeront ainsi une collection visuelle autour de la notion d’incorporation à reconstruire, assembler, fragmenter.
L’artiste élabore une cartographie mentale dessinée dans laquelle il incorpore physiquement le plan d’un instrument scientifique qui devait trouver place à bord de la sonde spatiale Rosetta, destinée à l’étude de la comète « Tchouri ».
Elle engage un projet d’ouvrage soutenu par la Région Île-de-France, dans lequel elle expérimentera différentes formes littéraires pour donner une autre représentation des non-humains de l’Espace.
À bord de l’Airbus zero-g, l’artiste mettra en jeu son propre corps et captera avec une caméra thermique la désorientation provoquée par l’impesanteur.
L’Observatoire de l’Espace accompagnera pendant un an Adrien Degioanni dans sa recherche artistique sur le silence de l’Espace et sa traduction en œuvres.
Ce spectacle des Voyageurs de l’Espace entrelace archives sonores, textes de création et improvisations musicales autour des grands discours sur l’Espace. Vox Mundi réunit sur scène Philippe Foch, Charlotte Marquardt, Didier Petit et Claudia Solal.
L’autrice a effectué la résidence « des écrivains en impesanteur » en 2014, expérimentant ainsi les sensations corporelles de la gravité zéro, et en a tiré la matière d’un roman à paraître aux éditions Alma, en janvier 2023.
À l’aide du dessin et de la vidéo, les artistes Chloé Vanderstraeten et Clément Villiers s’emparent des archives de l’aventure spatiale pour se concentrer sur le peuple de l’Espace présent dans les marges des images d’archive du Cnes.
Elle réalisera avec Impesanteur un travail de création autour de la relation du corps au milieu spatial et à ses conditions gravitaires particulières. Il prendra la forme de peintures et de sculptures.
La plasticienne Victoire Thierrée effectuera un travail de création autour des robots d’exploration employés dans le milieu spatial et des interactions qui se nouent avec leurs opérateurs humains.
L’artiste plasticien explorera, par cette création, la manière dont l’humanité tente de reconstituer dans un milieu extraterrestre son confort et son mode de vie habituels. Son œuvre picturale s’attachera à la figure d’un touriste découvrant un hôtel spatial.
Durant un an, Patrick Corillon développera un dispositif d’expérimentation du voyage spatial. Ce projet intitulé Ennui sidéral se situera entre l’installation et la performance.
) Le projet d’œuvre vidéo de l’artiste plasticien sera réalisé lors d’un vol parabolique à bord de l’Airbus zero-g, à l’automne 2022. Il s’intitule Dansez maintenant.
L'anthropologue Vincent Battesti a participé à la résidence de recherche en impesanteur de l’Observatoire de l’Espace. Il a d’abord observé depuis le sol une première campagne de vol, puis s’est embarqué à bord de l’Airbus zero-g. Il nous livre son expérience et ses observations lors du vol parabolique.
L’autrice, entrée en résidence de recherche en octobre 2021, partage, au mitan de son travail documentaire à l’Observatoire de l’Espace, ses réflexions littéraires et son processus de création.
L’auteur Éric Pessan, résident de l’Observatoire de l’Espace en 2020, achève son projet d’écriture avec la publication de son nouveau roman Qui verrait la Terre de loin aux éditions Fayard.
Les artistes Valère Costes et Justine Emard seront accompagnés par l’Observatoire de l’Espace en 2022 dans le cadre d’une résidence hors les murs. Leurs recherches artistiques porteront sur les conditions de vie en milieu spatial et s’inspireront de la méthodologie des expériences scientifiques.
Après un travail de recherche artistique d’un an sur la création du Centre spatial guyanais (CSG), l’artiste plasticien Erwan Venn a produit un nouveau récit de l’Espace constitué d’une série d’aquarelles inspirée des archives visuelles de l’histoire spatiale à Kourou.
Philosophe des sciences, Etienne Klein a pris part à la résidence de recherche en impesanteur de l’Observatoire de l’Espace. Il relate son expérience de disparition de la gravité, en lien avec un sujet de recherche sur la relation du corps et du langage à la pesanteur.
Elle développe une œuvre dont la réalisation découle de la collaboration avec un non humain, en l’occurrence une intelligence machinique capable de créer de nouveaux engins spatiaux à partir d’un corpus d’archives.
L’artiste réalisera une œuvre performative qui prendra la forme d’un jeu sérieux pour astronautes sur la thématique du droit de l’Espace. Intitulé Codex Spatium, ce processus artistique inédit est pensé pour être potentiellement réalisé en impesanteur puis réellement restitué au public sur Terre.
Écoutez le battement de nos images, d’Audrey et Maxime Jean-Baptiste, a remporté le prix du meilleur court-documentaire à Docaviv, en Israël, et Condition d’élévation, d’Isabelle Prim, celui de meilleur court-métrage au French Film Festival in Romania.
Les deux artistes vont chacune réaliser durant l’été une œuvre vidéo sur les non humains dans l’Espace à partir des archives audiovisuelles du Cnes. Ces œuvres seront présentées pour la première fois au public lors de Nuit Blanche 2021.
L’Observatoire de l’Espace accueillera en résidence l’autrice qui a reçu le soutien de la Région Île-de-France pour l’écriture de son prochain roman, Nager dans la nuit.
L’Observatoire de l’Espace produit une œuvre musicale pensée par l’artiste Stéphane Thidet pour écrire une partition en temps réel dans l’Espace lors d’un vol à bord de la Station spatiale internationale, de 2023 à 2024.
Le philosophe des sciences Etienne Klein, dont le vol est prévu à l’automne 2021, conduit un projet de recherche intitulé « De la juste façon de dire l’impesanteur », inspiré par la figure d’Albert Einstein et son intuition des ressentis corporels de la chute libre.
Les autrices Amélie Lucas-Gary, Sophie G. Lucas et Fabienne Yvert, accompagnées par David Christoffel, Éric Pessan et Karin Serres, membres du comité de rédaction de la revue Espace(s), investigueront les différentes catégories de non-humains dans l’Espace et leurs interrelations.
L’historien de l’art a effectué le 31 mars 2021 sa résidence de recherche en impesanteur à bord de l’Airbus zero-g. Il relate cette expérience inédite dont l’enjeu est de nourrir une étude sur les représentations gravitationnelles de corps divins dans les arts de la Renaissance.
Le chercheur prolonge sa thèse de doctorat sur les mythes, discours et images cosmogoniques dans l’art de la Renaissance. L’expérience de l’impesanteur lui permettra de poursuivre ce travail en usant des outils de la phénoménologie.
La romancière et traductrice Hélène Frappat a effectué en 2016 la résidence « Des auteurs en impesanteur » de l’Observatoire de l’Espace afin de nourrir l’écriture de son roman, Le Mont Fuji n’existe pas, qui paraît en février 2021 chez Actes Sud.
L’artiste Sylvie Bonnot a été choisie pour intégrer la résidence hors les murs de l’Observatoire de l’Espace en 2021. Son projet de recherche artistique, intitulé Géographies Spatiales de Soyouz (GSS), portera sur le site de lancement de la fusée Soyouz au sein de la base spatiale de Kourou, en Guyane.
L’Observatoire de l’Espace accueille Erwan Venn en tant qu’artiste associé pour l’année 2020-2021. Sa recherche artistique mêlera création et archives et sera consacrée à l’arrivée des premiers ingénieurs du CNES sur la base spatiale de Kourou, en Guyane, pendant les années 1960.
Les premières représentations de Je ne suis pas un astronaute, un spectacle nourri d’une recherche en résidence hors les murs, auront lieu à Nancy et Lyon en octobre 2020.
Maxime et Audrey Jean-Baptiste ont été choisis à la suite de l’appel à création audiovisuelle lancé par l’Observatoire de l’Espace dans le cadre d’une résidence sur le thème Infrastructures spatiales et territoires. Ils réaliseront une œuvre, inspirée du fonds d’archives audiovisuelles du CNES, autour de la création du Centre spatial guyanais à Kourou.
Suite à la réunion de la commission de choix, le projet de recherche « Transer en impesanteur » a été retenu pour participer à une campagne de vol parabolique. Il a pour but de mesurer l’impact physiologique, psychologique et phénoménologique de l’état de transe en conditions d’impesanteur.
L’artiste Keen Souhlal a été choisie pour être la nouvelle résidente hors les murs et intégrera en 2020 la résidence de recherche de l’Observatoire de l’Espace.
Éric Pessan a été choisi par le Conseil régional d’Île-de-France pour une résidence d’écriture d’une année à l’Observatoire de l’Espace.
Hélène Crombet, docteure en Sciences de l’Information et de la Communication, a volé à bord de l’Airbus ZERO-G le jeudi 17 octobre 2019 dans le cadre de sa résidence en impesanteur à l’Observatoire de l’Espace. Elle nous livre ses premières réflexions sur l’expérience de la microgravité.
Nicolas Montgermont, résident hors les murs en 2016, présente pour la première fois la forme aboutie d’Axis Mvndi, une installation sonore réalisée dans le cadre du projet qu’il a développé à l’Observatoire de l’Espace.
Raphaël Gouisset, résident hors les murs 2019 à l’Observatoire de l’Espace présente au CDN de Nancy L’art délicat du discours intersidéral, une performance créée pour le festival Sidération 2019. Elle s’inscrit dans le cadre de son projet Je ne suis pas un astronaute développé au cours de sa résidence.
Alexander Larson et Julie Bellard ont été choisis à la suite de l’appel à projets lancé par l’Observatoire de l’Espace pour entrer en résidence à l’Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense. Ils réaliseront une œuvre audiovisuelle sur la thématique
“Infrastructures spatiales et territoires” mêlant archives et création contemporaine.
Les 4 et 5 juin 2019
Elie During, philosophe résident en impesanteur en mars 2018, partagera sa réflexion sur son expérience de la micropesanteur au colloque Anthropology Off Earth.
La commission de sélection pour la résidence en impesanteur s’est réunie le 16 avril 2019. Elle a désigné les deux prochains résidents qui feront l’expérience de la microgravité à bord de l’Airbus ZERO-G : Hélène Crombet qui volera en octobre 2019 et Vincent Battesti qui volera en avril 2020.
4 mai 2019
Antoine Bioy, psychologue hypnothérapeute, ancien résident en impesanteur à l’Observatoire de l’Espace, mènera une conférence sur son expérience de la microgravité.
Arnaud Saint-Martin, sociologue des sciences, a volé à bord de l’Airbus ZERO-G le mercredi 10 avril dans le cadre de sa résidence en impesanteur à l’Observatoire de l’Espace. Il nous livre ses premières réflexions sur l’expérience de la microgravité.
15 février au 25 mai 2019
Le photographe Raphaël Dallaporta, résident Hors les Murs de l’Observatoire de l’Espace en 2014, présente sa nouvelle exposition Ventre à la Terrasse – Espace d’art de Nanterre du 15 février au 25 mai 2019
6 février au 3 mars 2019
Résidente de l’Observatoire de l’Espace en 2015, l’artiste plasticienne Théodora Barat propose un extrait de sa série photo In Situ du 6 février au 3 mars 2019.
La plasticienne et le performeur et metteur en scène intègrent pour un an le programme Création et Imaginaire spatial. Les deux artistes nourriront leurs projets de recherches effectuées au sein de la résidence hors les murs de l’Observatoire de l’Espace.
Les dossiers du psychologue Antoine Bioy et du sociologue Arnaud Saint-Martin ont été retenus suite à l'appel à projets de recherches lancé au printemps 2018.